Paroles des chants

Pour vos trous de mémoire, pour vos pougnons, voici les paroles de quelques chants. Vous pouvez aussi nous en envoyer à l’adresse suivante.
  
Paroles des chants
Dzoya 2017 Noël paroles
Dzoya 2017 Noël paroles (002) en word
Dzoya 2017 paroles du concert du 50 ème (fichier .pdf)

Ce sont les paroles des alti…les autres voix peuvent m’envoyer leurs fichiers

A – B – C

A

Autant le temps

Paroles : G Plancherel – Musique : F VoleryTonalité : Mib Départ : S-A : Mib T : Ré-B :Sol1.

Autant le temps s’en est allé, avec les ailes du troubadour,

Autant demeure ta montagneL’été du chalet, les velours de la gentianeTes démons, tes esprits n’ont pu briser les nids des grues de ta mémoireGrevire, Grevire, reste le pays que nous aimonsGrevire, Malgré les bars du Moléson2.Autant le temps s’est craquelé, avec les sabres et les tambours,Autant demeurent tes rivières,Le noir de forêt, la dentelles sur la canne

Les horreurs des baillis n’ont pu rouiller l’esprit dressé sur tes grimoires

Grevire, Grevire, reste le pays que nous aimons

Grevire, Malgré les tirs des environs

3.

Autant le temps s’est altéré, à coup de lunes et de faux jours,

Autant demeurent tes couronnes

Le ciel des poyas, les accents des paysannes,

Les vipères de la nuit n’ont pu croquer les fruits cachés dans tes armoires

Grevire, Grevire, reste le pays que nous aimons

Grevire, Malgré tes rubans de béton

Fine : Avec ton cœur, et ses raisons

B C

D

 

Dansons la Bénichon

Refrain … aux joues de l’été … l’ombre est parfumée Revient la romance de l’accordéon Il faut que l’on danse c’est la bénichon … d’aller sur le pont … c’est la bénichon

1.   Fumets de la fête aux plats d’amitié Dansent les fourchettes pour les invités Les choux de la soupe au jambon garni Le gigot découpe des poires à botzi

2.   Refrains de guinguette au vin des noceurs Sapins en goguette autour des danseurs Un doigt de moutarde après les grands mets Le repas s’attarde autour des beignets

L

L’amour est bleu1.

(D)Doux, doux, l’amour est doux, Douce est ma vie, ma vie dans tes bras Doux, doux, l’amour est doux, Douce est ma vie, ma vie près de toi Bleu, bleu, l’amour est bleu,                                    berce mon cœur, mon cœur amoureux Bleu, bleu,    …         Bleu comm’ le ciel qui joue dans tes yeux

Comme l’eau, comme l’eau qui court Moi mon cœur court après ton amour

2.   (H)Gris, gris, l’amour est gris, pleure mon cœur lorsque tu t’en vas         Gris, gris, le ciel est gris, tombe la pluie quand tu n’es plus là Le vent, le vent gémit, pleure le vent lorsque tu t’en vas Le vent, le vent maudit, pleure mon cœur quand tu n’es plus là

Comme l’eau, comme l’eau qui court Moi mon cœur court après ton amour

3.   Bleu, bleu, l’amour est bleu, le ciel est bleu lorsque tu reviens Bleu, bleu, l’amour est bleu,                                 l’amour est bleu quand tu prends ma main

Fou, fou, l’amour est fou, fou comme Toi et fou comme Moi Bleu, bleu, l’amour est bleu

Coda : l’amour est bleu quand je suis à toi.

 

La chanson des impôts (la ballade du tondu)

Gentes Dames et Messires, écoutez il va vous dire la ballade du Tondu Il est tondu vous l’avez vu, Oh mais tondu, tondu, tondu, car il a payé tout son dû

En impôts communaux, cantonaux, fédéraux nationaux, généraux Prestations, taxations, mutations, successions, sommations

Et le voilà sans un écu car il a payé tout son dû Tel qu’il est là, il est ma foi, comme vous et moi …

1.   b.f. ….. Et le voilà sans un écu car il a payé tout son dû Tel qu’il est là, il est ma foi, comme vous et moi …

2.   b.f. ….. Et le voilà sans un écu car il a payé tout son dû Tel qu’il est là, il est ma foi, comme vous et moi …

3.   b.f. ….. Tel qu’il est là, il est ma foi, comme vous et moi sans un écu : TONDU !

La fête est belle

1.   Oh la fête est belle, venez les amis Tous en ribambelle chanter la vie Les tables sont prêtes, le vin est bon C’est la ritournelle, amis chantons Car si par hasard un soleil amoureux réveillait en nous des élans romantiques ou si dame lune aux baguettes magiques jetait dans nos cœurs un sourire malicieux

R.   Alors nous danserons et nous chanterons Buvons à l’amour, ivresse d’un jour Que la vie est belle, mes chers compagnons Trinquons de plus belle en ce jour à la joie, l’amour

2.   Remplissons nos verres, trinquons entre amis L’heure est à la fête, soyons unis Ah, foin de misère jusqu’à demain, Que la terre entière entende nos refrains Mais si le soleil manque son rendez-vous Si commère la pluie nous asperge un p’tit coup Ou qu’encore la lune se gourre d’hémisphère Cherchons le salut dans le fond de nos verres

R.

3.   Vive la musique mes chers compagnons, Que la vie est triste sans nos chansons Jouez les trompettes et l’accordéon, Donnez à la fête un air de bénichon Allez les enfants qui sautez à la corde rejoignez nos rangs pour faire en quelque sorte une farandole aux multiples couleurs formez une ronde et criez le bonheur

R.                         + coda

La salade à la doucette

Il l’aimait tant grand-papa, la salade à la doucette, la salade, la salade, il l’aimait tant, il l’aimait tant

      H à Sur la table de famille … Ses bons yeux en rayonnaient d’allégresse et d’appétit Il prenait bien qu’en tremblant la cuillère et la fourchette Tournoyait un bon moment dans les feuilles d’herbe verte Puis avec malin sourire, s’en couvrait son large plat

Ah ! le questionner alors, ça c’était du temps perdu Car il n’entendait plus rien et ne répondait jamais Il était à la salade, rien n’existait plus pour lui

H àGrand-papa s’en est allé … Mais chaque fois que revient la salade à la doucette En silence, chacun pense, il l’aimait tant, il l’aimait tant.

Le baiser de ma mère

1.   Il berça mes rêves d’enfant, et toujours quand l’âme se fend dans les peines amères Il vient avec tant de douceur, qu’il semble donné sur le cœur, le baiser de ma mère

2.   ou ou (paroles aux soprani) Il devine l’âpre chagrin dont parfois le cœur est étreint et dont l’âme se serre Il est le baume qui guérit et rend joyeux le cœur meurtri, le baiser de ma mère

3.   Soliste Quand j’étais naguère méchant, je restais le soir bien longtemps sans fermer ma paupière Car alors je pleurais tout bas, de m’endormir en n’ayant pas, le baiser de ma mère

4.   Si j’étais au bord du tombeau, qu’il serait pour moi doux et beau à mon heure dernière de penser qu’avec son adieu, j’aurais pour me fermer les yeux, le baiser de ma mère.

 

Les goûts du canton       

à chœur de dames1.   Celui que mon cœur aime, on l’voit tous les jeudis matins Ses tommes sont un poème, tout l’monde en goûte avec du pain

R    Mangeons, buvons, c’est bon, c’est bon Les goûts de notre beau canton c’est bon          bis

2.   (Octuor) Il amène sur la place, parfums de son chalet Et les gens qui se déplacent, dégustent les fruits du bon lait

R    Mangeons, buvons, c’est bon, c’est bon Les goûts de notre beau canton c’est bon     bis

3.   Il est roi de son alpage, ses chèvres sont si jolies Il écoute leurs babillages et rigole avec les cabris

R    Mangeons, buvons, c’est bon, c’est bon Les goûts de notre beau canton c’est bon     bis

Les petits chevriers

1.   C’est nous les petits chevriers, tralala … Nous connaissons tous les sentiers bordés de noisetiers Nous partons avec nos biquettes lorsqu’a retenti notre cor; Les voici venir les follettes Ouvrant tout grand leurs beaux yeux d’or

2.   Quatuor Le bouc fièrement vient d’abord, tralala … Et l’on dirait un vieux major Dont l’œil flamboie encor’ Puis tout le long de la charrière, Le troupeau suit capricieux Chevrettes chevreaux têtes altières, Petits cabris vifs et joyeux

3.   à dames seules Le long du jour quand nous paissons, tralala … Jusqu’au soir avec les pinsons nous chantons des chansons Ce matin dans la gibecière, Grand-mère a mis fromage et pain Quand vient la soif à la rivière nous allons boire en notre main

4.   Quand le soleil décline et fuit, tralala … Quand la lune au ciel déjà luit, lorsque descend la nuit Quand l’angélus dans la vallée vient nous redire il faut rentrer Chantant dans la nuit étoilée, nous retournons vite au foyer

Le flot et le vent

Hou— !1. Lorsqu’on est enfant, d’une voix charmante, Le flot et le vent Vous parlent souvent Et vous disent: chante, Et vous disent: chante! Chante!

  1. Plus tard quand le soir On vient sur la grève, le cœur plein d’espoir. Errer ou s’asseoir, ils vous disent: rêve. Ils vous disent rêve ! Rêve !
  2. Puis plus tard encor, Bien qu’a la même heure, Sur le même bord, Les voilà d’accord Pour vous dire pleure. Pour vous dire Pleure! Pleure!
  3. Jusqu’à ce qu’au fond De l’âme attendrie, La plainte qu’ils font, Prenne un sens profond, Et lui disent: Prie ! Et lui disent: Prie ! Prie !

Le temps des moissonsA.   (H) Les flancs rosés … … viens t’asseoir, viens t’asseoir

B.   (D) On n’avait rien, tu te souviens, Hormis l’amour et le courage On se levait chaque matin, On s’appuyait dans nos ouvrages, nos ouvrages

C.   C’est le temps des moissons, Sens mon cœur, il frissonne Viens devant la maison de nos vies, c’est l’automne C’est le temps des moissons, Sens mon cœur, il frissonne Viens devant la maison de nos vies, de nos vies l’automne

D.   Ils sont partis nos beaux enfants, Tournent le monde et leur espoirs Nous deux serrés sur ce vieux banc Prenons le temps d’humer l’histoire

C.   C’est le temps des moissons, Sens mon cœur, il frissonne Viens devant la maison de nos vies, c’est l’automne C’est le temps des moissons, Sens mon cœur, il frissonne Viens devant la maison de nos vies, de nos vies l’automne

M

MARSLa la la

1.   Quand mars se déguise en été Le temps prend des habits fourrés

      H : Elle était brune …

      Le temps s’ennuie au fond des rues On fait du feu dans les jardins On croit déjà l’été revenu Mais les frimas sont bien têtus, bien têtus

La la la …

2.   On était jeune et vigoureux Carême et jeûne c’est pour les vieux

H : M’avait souri …

Verdur’ de mars, mauvais augure Jamais jamais ne l’ai revue Là sur les monts la neige perdure Adieu mon cœur, suis à la rue, à la rue

Coda : la la la la la

N O

On ne devrait jamaisOn ne devrait jamais dire jamais, C’est la vie qui donne la cadence, Tu connais bien le prochain couplet, Mais ne laisse pas passer ta chance

1.   On s’lève un matin, train-train quotidien, tout semble joué Et puis le destin, ce joyeux coquin, vient tout chambouler La valse du temps soudain nous surprend, nous fait tournoyer Projets du printemps, avant l’Nouvel-An ont souvent changé

Détour du chemin, tu croises un matin la belle inconnue Elle te tend la main, t’es comme un gamin, vers où t’en vas-tu ? C’est promis juré, je n’vais pas céder, on me connais têtu bien têtu, me marier ? Faut pas rêver, non mais pourtant vois-tu, vois-tu ?

On ne devrait jamais dire jamais, C’est la vie qui donne la cadence, Tu connais bien le prochain couplet, Mais ne laisse pas passer ta chance

2.   J’me voyais déjà, roi du célibat, je peux le jurer Jamais candidat, c’est très peu pour moi, et m’voilà marié Je ne dirai plus qu’on n’m’y prendra plus, ça je l’ai gravé Au fond c’qui m’a plu, ami tu l’as vu, c’est ma destinée

Venu de la Broye, d’la tomme il est roi, qui l’aurait pensé ? Au chalet cinq mois, seul et ça va d’soi, ah les beaux étés Puis un beau matin, un coup du destin, au creux d’un rocher, d’un rocher, d’un sapin Dans cet écrin, un bel amour est né, est né

On ne devrait jamais dire jamais, C’est la vie qui donne la cadence, Tu connais bien le prochain couplet, Mais ne laisse pas passer ta chance

3.   On s’lève un matin, train-train quotidien, tout semble joué Et puis le destin, ce joyeux coquin, vient tout chambouler La valse du temps soudain nous surprend, nous fait tournoyer Projets du printemps, avant l’Nouvel-An ont souvent changé

      Devant la maison, assis tous les deux, encore amoureux On pense au printemps, on rêve à l’été, où l’on s’est marié Couleurs de l’automne jamais monotones, Eh oui tu m’étonnes, tu m’étonnes sur ce banc L’hiver charmant durera tout le temps, le temps

On ne devrait jamais dire jamais, C’est la vie qui donne la cadence, Tu connais bien le prochain couplet, Mais ne laisse pas passer ta chance

Coda : Mais ne laisse pas passer ta chance.

Ou vilyo tin

1.   In Plyanrochè pri di vani …

3.   D à Tyin lè chi dzouno cavalyé …

4.   ou … (paroles aux soprani) Ouna va ou dévan dè li …

5.   Permi le mandzeron brodâ …

P

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 Paroles : E Gardaz – Musique :  P Kaelin
Tonalité : Fa  Départ : S-A- T-B : la
 Refrain :
Après l’étable, Après la croix, fais-nous Seigneur, partager ta joie, Après l’étable, Après la croix, fais-nous Seigneur, partager ta joie.
 1.
Partager au matin le bâton pour la route et se rompre le pain à l’heure du casse croûte
 
Partager, partager
 
Echanger les fumées qui ne sont pas les mêmes, mêmes grains que l’on sème pour le riz pour le pain
 
Ta planète est la mienne, Echanger
 (Refrain)
 2.
Partager la maison quand la place est petite,
Oublier la raison quand l’Amour est en fuite
Partager, Partager
Echanger les idées qui ne sont pas les mêmes,
Dire avant que je t’aime, va je ne te hais point,
Pour mieux dire que je t’aime, Echanger
 

Refrain et coda
Après l’étable, Après la croix, fais-nous Seigneur, partager ta joie,
Après l’étable, Après la croix, fais-nous Seigneur, partager ta joie.
Partager cet amour qu’on rdoute de vivre, s’en aller tout autour où est la joie de survivre un Amour partagé.

PREYIRE A NOUTHRA DONA DOU BOU

1.Vo jan betâ chu le pachâdzo
Vo vêdè di dzin dè to t’âdzè
Be tâdè di dzin dè to t’adzè
Be tâdè ti lu kâ din vouthron kâ
Nouthra Dona, tchyè dè.
Bayidè là Jésus ke lè din vouthron bré. Chôpyé
REFRAIN :
Nouthra Dona dou bou
Bènidè no ti dou
Vouerdâdè vo jinfan
Ke van chu lè chindè
Menadè lè té ti hô lé ou paradi
Me na dè lè tré ti hô lé ou paradi
2.Vo vêdè to chin ke chè pâchè
Chin yadzo péjan ke no kâchè
Idji dè no porto dè no chèkoua
Nouthra Dona tchdè-dè
Dzoua apri dzoua, vouerdâdè no din vouthron kâ
Chopyé
3.E. kan vindrè chi gran voyâdzo
Ke no fudrè ti fér’on yâdzo
Vinyi dè no j’idji por a dè bon
Nouthra Dona tchyédè
Avu lè bon, menâdè no tantchyè hô lé
Chôpyé

Q R S

 

 

Saison de Broye

  1. 1.   Quand mon pays se met en brumes Quand mes nuages fond’en larmes Des feuilles tombent sur nos rhumes Le vent nous pouss’à tricoter C’est mon pays au temps d’automne

2.   ou ou … (paroles aux soprani) Quand la Molière solitaire berce des souvenirs de Reine C’est la Toussaint viens boir’un verre L’an prochain nous serons trop vieux C’est mon pays au temps d’hiver

3.   Mais quand revient la primevère Et les bourrasques sur nos têtes La Broye se lève la première La fête peut recommencer C’est mon pays c’est le printemps

4.   On a repeint tous nos villages Nos cerisiers et nos navires Une mouette déménage Ell’aussi veut se marier C’est mon pays au temps d’été

SI TU PASSES

R. Si tu passes par ici, Regarde  vivre ce pays, Si tu passes par ici Ecoute l’âme du pays. 1. Il est temps la vigne se réveille Les sarments bougent au gré du vent. S’en vont jouer frôlant la treille Tendant les bras non chalamment .R. 2. Les grains d’ambre écartent le feuillage Oubliant l’oiseau maraudeur. Quand du soleil le doux message Répand l’image du bonheur.R. 3. Vieux pressoir proclame l’abondance Tout le bourg s’anime avec toi Un air chantant un air de danse Retient l’automne qui s’en va. R.

SIMPLE HISTOIRE

J’ai vu passer un frais minois qui m’a ravi le cœur.

Depuis ce jour un fol emoi Me rend drole et songeur.

R : Pourquoi faut il qu’on ait des yeux et puis un cœur aussi ? Aimons chantons soyons joyeux, la vie est belle ainsi.

Timidement, j’ai dit bonsoir. Quand elle ma croisé Et puis un jour, c’est au revoir Que j’ai tout bas osé.

Un soir enfin, j’ai pris sa main et j’ai longtemps causé. Et puis ma foi, le lendemain, J’eus son premier baiser.

S

Saison de Broye

1.   Quand mon pays se met en brumes Quand mes nuages fond’en larmes Des feuilles tombent sur nos rhumes Le vent nous pouss’à tricoter C’est mon pays au temps d’automne

2.   ou ou … (paroles aux soprani) Quand la Molière solitaire berce des souvenirs de Reine C’est la Toussaint viens boir’un verre L’an prochain nous serons trop vieux C’est mon pays au temps d’hiver

3.   Mais quand revient la primevère Et les bourrasques sur nos têtes La Broye se lève la première La fête peut recommencer C’est mon pays c’est le printemps

4.   On a repeint tous nos villages Nos cerisiers et nos navires Une mouette déménage Ell’aussi veut se marier C’est mon pays au temps d’été

Suivons le sentier

  1. Suivons le sentier Ecoutons le Vent Tout près du rocher où coulent les eaux du torrent.
  2. Au soleil levant nos voix enlacées chanteront le chant de notre gaîté (bis)
  3. Quand midi viendra chanterons la vie soleil brillera comme en paradis (bis)
  4. Au soleil couchant nos voix enlacées chanteront le chant de notre amitié (bis)
  5. Quand la nuit viendra naîtrons à la vie soleil brillera dans le paradis (bis)

Swing low, sweet chariot

  1. Swing low sweet chariot,_ Comin’ for to carry me_ home Swing low sweet chariot,_ Comin’ for to carry me_ home
  2. Look’d over Jordan and what did Isee? Comin’ for to carry me_ home; A band of angels com-in’ after me, Comin’ for to carry me_ home.
  3. you_ get there be-fore_ I do;- Comin’ for to carry me_ home; Tell all_my friends I’m com-in’_too,- Comin’ for to carry me_ home.

T

U

Un jour tu verrasUn jour ou ou … guidés par le hasard Nous nous ou ou … par les rues nous irons

Le temps passe si vite, le soir cachera bien nos cœurs ces deux voleurs qui gardent leur bonheur Puis nous arriverons sur une place grise Où les pavés seront doux à nos âmes grises

Il y oh oh … et de mélancolie Un aveugle jouera de l’orgue de Barbarie Cet air sera pour nous le plus beau l’plus joli

hm … Nous danserons tranquilles loin des gens de la ville nous danserons tranquilles loin des gens de la ville Nous danserons l’amour la la la   Les yeux au fond des yeux la la   Nuit profonde, fin du monde

Un jour ou ou … guidés par le hasard Nous nous regarderons et nous nous sourirons et la main dans la main par les rues nous irons la la la la la …

V W X Y Z

Mod

ifier

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